Plusieurs articles du numéro 222 de Pêche et Développement, parus fin janvier, viennent en écho des débats intervenus ces dernières semaines sur la crise de la pêche et les solutions à y apporter.
Le premier (dans l’ordre chronologique de publication) s’inquiète des difficultés que provoquerait dans la filière la diminution des apports.
Le second s’alarme des risques que l’aquaculture industrielle fait courir, tant ici, à cause des pollutions engendrées, qu’en Afrique et Amérique du Sud pour les pêcheurs locaux affectés par la surpêche (pour produire les farines destinées à l’aquaculture).
Le troisième est une défense et illustration des structures d’encadrement et des organisations professionnelles comme alternative à la «vision restrictive» que portent les ONG en matière de pêche durable.